SARKOZY DÉJA LIBÉRÉ : JUSQU’OÙ IRA LA CORRUPTION DE LA FRANCE ? | LA MATINALE GPTV
Description
Le 11 novembre 2025 à 7h, Florian Philippot, Patrice Magneron, le Général Alexandre Lalanne‑Berdouticq et Christine Boutin étaient les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde.
Florian Philippot, tête de liste des Patriotes pour les européennes de 2024, est un acteur politique engagé pour la souveraineté nationale. Ancien eurodéputé, il a fondé son parti après avoir quitté le Front National. Il promeut le Frexit par référendum.
Patrice Magneron est président de l’association IDNF (Initiative pour la Défense de la Nation Française), œuvrant au rapprochement entre militaires et civils à travers des actions valorisant patriotisme et identité nationale.
Alexandre Lalanne‑Berdouticq est général de brigade (2S), ancien de Saint‑Cyr et de l’École de guerre. Il a commandé un régiment de la Légion étrangère, servi à l’étranger, et publie sur la défense et la stratégie.
Christine Boutin est une femme politique catholique conservatrice, opposée au PACS, mariage pour tous, PMA et GPA. Ancienne maire, députée, ministre, elle fonde le Forum des Républicains Sociaux devenu le Parti Chrétien-Démocrate. Candidate en 2002, elle s’illustre par son discours contre le PACS. Retirée depuis 2017, elle soutient Marine Le Pen puis rejoint Reconquête.
Sarkozy et la Justice d’État
La France vient d’assister à une farce : un ancien président, condamné à cinq ans dont un ferme, incarcéré puis libéré vingt jours plus tard. Soit Sarkozy était coupable et devait purger sa peine, soit il était victime d’un règlement de comptes. Dans les deux cas, la justice apparaît impuissante. Vingt jours pour corruption, c’est le symbole d’un système sans colonne vertébrale.
Cette mascarade révèle une rupture entre peuple et justice. Les jugements d’exception alternent avec les indulgences pour les puissants, tandis que les Français ordinaires subissent une répression quotidienne. Sarkozy incarne l’arrogance d’un pouvoir déchu protégé par un système judiciaire à deux vitesses.
Le crépuscule d’une République sans honneur
Ce n’est pas un épisode isolé mais une faillite de la responsabilité politique. En se posant en victime, Sarkozy ridiculise sa fonction. Il évoque un « cauchemar », quand des milliers de Français croupissent en prison sans caméras. Il récolte les fruits d’un système fondé sur trahison et désacralisation de l’autorité.
La justice, brutale puis rétractée, n’est plus qu’un instrument politique. On condamne puis on libère pour éviter le scandale. Les institutions se disloquent, la confiance s’effondre. Sarkozy n’a pas seulement terni son image : il révèle une élite sans foi ni nation.
La France trahie à la veille du souvenir
À la veille du 11 novembre, alors que la Nation s’apprête à honorer ses morts, les dirigeants affichent leur indignité. L’esprit de sacrifice a cédé la place au mensonge. Les anciens combattants reposent dans la boue de l’Histoire ; les dirigeants pataugent dans celle de la corruption. La France mérite des institutions solides, une justice incorruptible, une élite digne de ses morts.
Sarkozy n’est pas un cas isolé, mais le symptôme d’une République en ruines. Le 11 novembre, autrefois victoire des peuples libres, sonne comme l’armistice d’une nation trahie par ses élites.
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